* Dancing girls
Dancing girls musical de Darren Grant
avec :
Mary Elizabeth Winstead, Tessa Thompson, Riley Smith, Julissa Bermudez, Ashley Roberts, John Reardon et Karen Leblanc
durée : 1h29
sortie le 10 juin 2009
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Synopsis
En arrivant à Chicago, Lauryn espère enfin devenir danseuse et rejoindre la prestigieuse Chicago School of Music and Dance. Mais entre un casting qui se passe mal et le sort qui s’acharne, elle se retrouve rapidement obligée de danser dans un bar de seconde zone. Pourtant, c’est dans ce lieu de perdition qu’elle va apprendre à accepter son destin pour mieux le forcer, et découvrir qu’il ne faut jamais renoncer à ses rêves...
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Notes de production
Une jeune fille rêve de devenir danseuse. Malgré les innombrables obstacles qui se dresseront sur sa route, elle ne renoncera pas...
Anthony Mosawi, producteur du film, raconte : « L’idée de Dancing Girls m’est venue alors que je conduisais sur Wilshire Boulevard à Los Angeles. Avec ma société de production, The Mayhem Project, nous étions à la recherche d’une nouvelle idée de film. Nous avions lu plus de 600 scénarios, tous des films d’horreur, et regardé un nombre incalculable de films du même genre. Cela faisait dix-huit mois que je nageais littéralement dans l’horreur. D’un seul coup, j’ai réalisé que ce n’était pas ça dont j’avais envie, pas du tout. Ce que je voulais au fond, c’était faire un film qui ait du sens, une belle histoire, une aventure humaine, un spectacle agréable à regarder. Je voulais faire un film de danse... A l’époque, les films de danse se faisaient rares au cinéma. J’avais le sentiment qu’un film comme celui-là pouvait apporter quelque chose de frais et intéresser un public différent. »
Dancing Girls raconte l’histoire de Lauryn, une jeune femme d’une petite ville de l’Indiana qui se rend à Chicago pour tenter d’entrer à la prestigieuse Chicago School of Music and Dance. Mais l’audition se passe mal et elle finit comme danseuse dans un bar. Dans ce lieu où la concurrence fait rage, Lauryn va se découvrir et prendre conscience qu’il n’y a pas qu’une seule façon de réaliser ses rêves.
Anthony Mosawi reprend : « Je me suis dit qu’avec le climat politique et économique actuel, les spectateurs auraient envie qu’on leur raconte l’histoire de quelqu’un qui se bat pour réaliser son rêve. Nous avions besoin d’un style de danse très particulier, quelque chose de fort. Le burlesque américain, ce mouvement artistique mélange de théâtre et de strip-tease, s’est développé et a beaucoup évolué. Nous avons gardé l’essence de cette danse, le côté spectaculaire et sensuel, pour proposer des numéros intemporels. C’est un genre qui continue à fasciner les gens parce qu’il garde un côté très chic et esthétique. »
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Le premier pas vers un rêve
Darren Grant a tenu à travailler avec un collaborateur de longue date, le directeur de la photographie David Claessen. Le réalisateur explique : « J’ai commencé à travailler avec David quand j’étais assistant et électricien. J’ai toujours aimé son travail avec la lumière. Quand j’étudiais le cinéma, on nous parlait beaucoup des grands maîtres hollandais. David est hollandais et, à la manière de ces illustres peintres, il peint ses images au moyen de la lumière. J’adore sa façon de travailler. Ensemble, nous avons fait des clips formidables, tous ses plans sont comme un portrait ou un tableau. »
Darren Grant reprend : « J’ai engagé David parce que je savais qu’il allait faire un excellent travail sur ce film, et je ne me suis pas trompé. J’aime beaucoup son style, sa patience, son soin du détail et ses cadrages. Je voulais travailler avec une personne capable de renforcer ma vision et mon style. »
David Claessen raconte : « Quand Darren m’a parlé du film et de la façon dont il voulait le réaliser, j’ai trouvé ce projet très excitant parce qu’il était vraiment différent des autres films de danse. C’était une opportunité unique de revisiter un genre populaire et d’essayer de faire quelque chose de frais et moderne. Darren est très visuel, mais il donne aussi une grande importance aux émotions. J’ai fait beaucoup de clips avec lui et c’est le seul réalisateur que je connaisse qui est capable de créer un univers émotionnel très fort avec la musique. On retrouve cette qualité dans le film, il a vraiment su tirer un maximum d’émotions des personnages, il ne s’est pas contenté de raconter une histoire, il l’a fait vivre. Darren était fait pour ce film parce qu’il comprend très bien ce que ressentent les jeunes, et sait comment mettre en scène leurs sentiments et leurs émotions. Et puis bien sûr, il a l’art de créer de superbes scènes de danse. »
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Danser comme on respire
Les chorégraphes Tracy Phillips et Dominic Carbone travaillent ensemble depuis le lycée. C’est leur show à Los Angeles qui a retenu l’attention des producteurs de Dancing Girls.
Le producteur Anthony Mosawi raconte : « Il y a à Los Angeles un groupe de clubs très connu qui s’appelle le Forty Deuce Clubs. Tracy a été l’une des premières danseuses burlesques de ce groupe. Elle a arrêté de danser pour eux il y a deux ans et a fondé son propre club, l’Aqua. Nous y sommes allés et nous avons trouvé son spectacle fantastique. Tracy dansait dans ce show, mais elle faisait plus que ça : elle transmettait une émotion, des sensations. En plus de danser, elle choisissait les musiques et les costumes, et utilisait dans la mise en scène tout l’espace de la salle. Le spectacle n’était pas seulement sur la scène : les danseuses surgissaient dans notre dos, des choses explosaient au-dessus de nos têtes, c’était une expérience totale. Toute la soirée, nous n’avons pas cessé de tourner la tête dans tous les sens pour ne rien rater.
Nous lui avons demandé de créer pour le film un spectacle de danse composé de numéros individuels tous plus captivants les uns que les autres. Elle est revenue avec plusieurs numéros qui avaient tous une thématique bien précise, et des styles de danse particuliers à chacun. Elle forme une bonne équipe avec Dominic Carbone parce qu’ils apportent chacun des choses différentes dans leurs chorégraphies. »
Le réalisateur Darren Grant ajoute : « Je suis allé voir leur spectacle au club Aqua et j’en ai pris plein les yeux. C’était entre le strip-tease, le théâtre et le spectacle de cabaret, les filles dansaient sur des chaises, disparaissaient quand les lumières s’éteignaient et revenaient dans de nouveaux costumes, c’était super, j’avais l’impression de regarder Flash Dance en live. Leurs numéros avaient un côté rétro-rock que je trouvais fascinant. Après avoir vu leur spectacle, j’étais persuadé qu’ils étaient les chorégraphes dont nous avions besoin parce qu’ils étaient capables de s’inspirer du burlesque américain traditionnel pour créer quelque chose de complètement nouveau. Dans Dancing Girls, les filles ne se trémoussent pas sur scène avec des pastilles collées sur les seins. On voit des filles superbes et très sensuelles qui dansent le soir et aiment fasciner les foules et déclencher la folie dans le public. Mais c’est un public correct, et cela n’a rien de grivois. Tracy et Dominic ont parfaitement compris ce que nous recherchions. Ils ont réussi à créer un spectacle sexy et artistique qui ne tombe jamais dans la vulgarité. »
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Fiche technique
Réalisateur : Darren Grant
Scénariste : Duane Adler
Directeur de la photographie : David Claessen
Chef décorateur : Ray Kluga
Chorégraphes : Tracy Phillips et Dominic Carbone
Chef costumière : Karyn Wagner
Producteurs : Anthony Mosawi et Brad Luff
Producteur exécutif : Robert Benjamin
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présentation réalisée avec l’aimable autorisation de
remerciements à Olivier Lebraud
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